Ma se parliamo solo di tempo non diciamo dello spazio. In questo quaderno di bordo vorrei infatti che si trovassero quei pensierini del giorno, poesie, delle considerazioni su un album o un libro, ci metterò tutto quanto dei miei studi ci si possa acclimatare, ma voglio anche raccontare

Disons que l'an et le jour zéro de ce journal de bord est à quelque part entre la moitié et la fin juin de cette année. Disons qu'autour le 20 de ce mois ensoleillé mais frais a commencé quelque chose que le temps connaît et le tient serré dans ses maillots tordus du futur, quelque chose qui trouvera sa place parmi ces mots mais dans la mesure de la lyrique, de l'acclamation sans nom – seulement son reflet sera publique. Disons qu'à la fin de ce mois où j'ai travaillé et presque autant grimpé, il s'est réalisé un rêve que je ne rêvais même plus, des questions ont trouvé leurs réponses et solutions, des questions qui perduraient dans mon existence et conditionnaient mes équilibres. Maintenant un changement poursuit avec son pas feutré, radical, et comme un moins bouddhiste fait tourner la roue de la prière le changement fait tourner le cylindre des points de vue, et le monde n'est plus le même (peut-être c'était une prière, la mienne, et je l'ai remplie). Disons donc que ce putain de juillet était chargé de passé et de présent et m'a porté plusieurs charrues de futur.
Mais si nous parlons juste du temps ne disons pas de l'espace. Dans ce journal de bord en effet je voudrais qu'il y ait toutes ces pensées de la journée, des poésies, des considérations sur un album ou un livre, j'y mettrai aussi des bouts de mes études, mais je veux aussi raconter l'espace. L'espace traversé le long de mes voyages, cet espace que nous tous percevons mais que pas tout le monde aperçoit sa forme différente, par exemple, en ville et en montagne – et qu'elle change entre une ville et l'autre! Je veux raconter mes voyages, efforcer mes pauvres mots pour que le mouvement devienne récit.
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